GénériqueBig Bang Theory Theme Song : G C D G D Em Our whole universe was in a hot dense state, C D G D Then nearly fourteen billion years ago expansion started. Em Wait C D The Earth began to cool, G D Em The autotrophs began to drool, C D Neanderthals developed tools, G D Em We built a wall we built the pyramids, C D G D Em Math, science, history,
TheBig Bang Theory and Evolution Became the new Genesis But the question comes As it always does I don't want to offend you Or cause a fuss But the question is: What came before, you know, the Big Bang? Well, I'm just asking Some questions maybe Are just too big for our brains Questions remain In the Mind of Mankind But the Mind of Mankind is at its very best
Cettefois-ci, je m'attaque au générique de la série The Big Bang Theory ! C'est une traduction littérale, donc il se peut que parfois, ça sonne un peu bizarre ou
Laveille de l’investiture de Donald Trump à la Maison-Blanche le jeudi 19 janvier, CBS diffusait un nouvel épisode de son hit The Big Bang Theory.Il s’agissait de
120dessins originaux de l’illustrateur Jean-Michel Folon au musée Tomi Ungerer. Dans les années 70, ses génériques d’Antenne 2 avaient marqué les
Cegénérique (non retouché, vitesse originale) de série télévisée américaine, n'a pas besoin d'être décortiqué image par image, la lecture à vitesse normale
Its the big bang theory, yeah, check it out, bring it, yo I got a big bang theory my hardcore comittee Gon rock and roll the streets and shake the whole city Chronic low ridin bitches with silicon tities (we gon bounce and ball until the wheels fall off) I got a big bang theory my hardcore committee Gon rock and roll the streets and shake the
jMummLm. La ritournelleSi le cabinet du psychanalyste est le lieu du ressassement et du dénouement par excellence, il fallait, pour inciter le spectateur à pénétrer plus de 30 fois par saison dans celui du Dr Dayan Frédéric Pierrot, une invitation sonore engageante. C’est particulièrement réussi avec la musique composée par Yuksek, producteur électro français, qui joue pendant quelques minutes avec la répétition d’un motif entêtant au piano, seul ou sur des nappes électroniques. Les notes du clavier, très espacées, sonnent légèrement désaccordées, comme les paroles des patients qui n’ont pas encore été aiguillés par Dayan. Quand elle n’accompagne pas les images vintage du générique, cette ritournelle revient par petites touches habiller les salle d’attente En thérapie » La première rencontre entre le Dr Dayan et sa nouvelle superviseuse Claire magistralement interprétée par Charlotte Gainsbourg dans la saison 2 commence mal Dites donc, c’est un peu la cour des miracles, votre salle d’attente… - Pourtant, on ne fait pas de miracles, vous le savez. » Dans la série, les moments passés dans l’antichambre du cabinet des deux thérapeutes, avant et après les consultations, comptent double. C’est Léonora Clémence Poésy qui dépose son fils Robin Aliocha Delmotte en espérant ne pas croiser le père avec qui elle est en conflit, c’est Adel Reda Kateb qui tapote nerveusement son gobelet de café, signe que le flic de la BRI est fébrile, ou le Dr Dayan lui-même observant un Cet article est réservé aux abonnés. Pour lire la suite, profitez de nos offres dès 1€ Je teste sans engagement En choisissant ce parcours d’abonnement promotionnel, vous acceptez le dépôt d’un cookie d’analyse par Google. Paiement sécurisé Sans engagement Accès au service client
Sheldon et Leonard ont fait leurs adieux au public hier soir, à l’occasion de la diffusion sur CBS de l’épisode final de la sitcom "The Big Bang Theory". Comment s’est achevée la série culte ? Voici notre résumé ! CBS Attention, ce qui suit revient en détails sur l’épisode final de la série The Big Bang Theory. Si vous ne l’avez pas encore, et ne souhaitez rien savoir sur son contenu, il vous est vivement recommandé de ne pas lire cet article. Première partie Il aura donc fallu attendre l’ultime épisode de The Big Bang Theory pour voir Sheldon Cooper remporter enfin le prix Nobel de physique. Partagé avec son épouse Amy, cette distinction récompense donc le travail du couple, qui aura dû batailler âprement au cours de cette douzième saison pour éviter qu’un duo d’imposteurs ne le leur ravisse. Remporter ce prix, l’accomplissement d’un rêve d’enfant, ne semble pourtant pas combler Sheldon. Ce dernier, contrarié par tous les changements qui affectent son quotidien, s’enferme dans un premier temps dans son bureau pour éviter les sollicitations de reporters avant de s’emporter contre Amy, "coupable" d’avoir changé de look pour fêter dignement son succès. Le coup de grâce intervient quand Sheldon apprend que l’ascenseur de leur résidence – en panne depuis le premier épisode de la série – a enfin été réparé. Contrarié par tous ces changements, lui qui aime tant mener une vie rangée et sans surprise, Sheldon craque. C’est alors que Penny, celle par qui de nombreux changements sont arrivés dans sa vie, parvient à le raisonner en le persuadant qu’il ne faut pas avoir en avoir peur, mais au contraire regarder les choses avec davantage de perspective. Sheldon réalise alors qu’une fois l’ascenseur tombé en panne, il a pris l’habitude de descendre les escaliers sans que sa vie n’en soit bouleversée. CBS Seconde partie Si la première partie de l’épisode était plutôt centré sur le couple Amy / Sheldon, la seconde va davantage s’intéresser aux autres personnages de la série. Et notamment à Penny, dont nous apprenons la grossesse, pour le plus grand plaisir de son mari Leonard. Craignant que cette dernière ne soit malade, puisqu’elle ne cesse d’aller aux toilettes de l’avion qui les emmène en Suède, Sheldon apprend finalement la bonne nouvelle… mais ne pense pas à féliciter le couple, puisqu’il se réjouit simplement que Penny n’ait pas un virus contagieux. Ulcéré par cette nouvelle preuve d’égoïsme, Leonard décide de ne plus adresser la parole à Sheldon. Pire, quand Howard leur apprend qu’il souhaite retourner à Los Angeles avec Bernardette parce que leurs enfants leur manquent trop, Leonard menace lui aussi d’écourter son séjour à Stockholm et de sécher la cérémonie du prix Nobel. De retour dans sa chambre, Sheldon se dispute avec Amy, qui lui reproche elle aussi son manque d’empathie pour les autres. CBS Finalement, Howard et Leonard décident de rester en Suède pour assister à la remise du prix. Amy et Sheldon reçoivent donc leur distinction, sous les yeux émus de leurs amis et de… Sarah Michelle Gellar, rencard improbable de Raj ! Amy décide de dédier son prix à toutes les jeunes filles qui rêvent de devenir scientifiques, puis vient ensuite le tour de Sheldon ; contre toute attente, ce dernier décide finalement de ne pas lire son discours d’auto-congratulation, pour livrer à la place un message touchant et émouvant de remerciement à ses proches, mais également à sa "famille" d’adoption. En larmes, Leonard, Raj, Howard, Penny et Bernardette sont appelés un à un à se lever pour recevoir l’hommage qui leur est dû et pour entendre leur ami Sheldon leur dire qu’il les aime tous. La série s’achève alors par un plan des héros dînant ensemble dans l’appartement, une scène accompagnée par une version acoustique de la chanson du générique. Aviez-vous remarqué ? Les détails cachés de The Big Bang Theory
Encyclopegeek Big Bang Theory Un article de PATRICK 6 Le Big Bang c’est elle ! © CBS Extrait d’une conversation lors d’une soirée bien arrosée Elle Hey ! Puisque tu aimes STAR TREK tu devrais regarder BIG BANG THEORY !Moi Hum mouais j’suis pas sûr, hips, la série est très cotée dans la Geekosphere, mais les rires en boite, moi, t’sais, hips, c’est vraiment pas ma tasse de vin, hips !Elle Ne t’inquiète pas, la série est très drôle et tes propres rires couvriront ceux du public !Moi Bon, ok, ok, deal ! Hips ! J’essaierai à l’occasion. Passe-moi la bouteille en attendant… Une gueule de bois plus loin, toujours pas convaincu, j’ai néanmoins tenté ma chance. Bien m’en a pris, puisqu’en un temps record j’ai enchainé les 12 saisons, à raison de 3 ou 4 épisodes par absolue, totale et lors je n’ai eu qu’une seule mission tacher de traduire cet amour pour cette série à travers un article. Commençons par le factuel la série s’étale sur 279 épisodes de 22 minutes chacun. Créée par Chuck Lorre et Bill Prady, elle sera diffusée de septembre 2007 à mai 2019. La série s’inscrit dans la plus pure tradition des Sitcoms américains. Bon alors je vous vois venir, vous allez me dire Hey les Sitcoms ça existe encore !? Il faut croire que oui, puisque le genre a encore été utilisé récemment dans la série WANDA VISION . Pour ceux qui auraient besoin d’une update, sortez vos cahiers et veuillez noter j’ai appris par cœur la page Wikipedia Apparues dans les années 50, les Situations Comedys comprenez Comédies de situations sont, comme leur nom l’indique, des séries tournées vers l’humour. Afin de réduire les coûts de production elles ont généralement un nombre très limité de décors, parfois même un seul, genre le salon d’une collocation FRIENDS attitude. Le plus souvent les Sitcoms sont enregistrés en public, ainsi les rires en boite » sont authentiques. Euh, enfin, authentiques, c’est une façon de parler, car avouons-le, le son est souvent mixé – traduisez trafiqué – selon la volonté du réalisateur, afin de souligner tel ou tel passage de l’épisode. D’où l’impression de rires surfaits ou alors l’audience prend de la drogue. Au choix. Dans les cas peu nombreux où un tournage en extérieur est nécessaire, la scène est filmée préalablement, puis diffusée sur un écran au public habituel de la série, afin que leurs réactions soient enregistrées, comme d’habitude, en direct. Pour BIG BANG THEORY BBT les scènes de chaque épisode sont filmées chronologiquement et demandent généralement une journée de 3 à 5h de tournage. Le public a donc l’impression d’assister à une longue pièce de théâtre et se retrouve, de ce fait, impliqué dans l’histoire. Ajoutez à cela un chauffeur de salle très efficace et vous obtiendrez une audience chauffée à blanc, ultra motivée, et prête à rire à gorge déployée… toutes les 30 secondes ! Normalement, c’est le moment de l’article où tous les lecteurs font Aaaaah et applaudissent à tout rompre, avant d’enchainer sur les pubs. Dont acte Juste une soirée typique chez les Geeks. Après le carton interplanétaire de la série FRIENDS 1994-2004, on pense le Sitcom voué aux redites plus ou moins pertinentes comment se renouveler ou simplement égaler ce succès ? Qu’est ce qui a motivé les pontes de CBS pour lancer leur propre Sitcom, mettant qui plus est des Geeks en scène ? Elémentaire mon cher Watson les temps ont changé, les ringards d’autrefois sont devenus les nouveaux cools ! Geek is the new sexy ! Le phénomène a envahie Hollywood, tout d’abord par des adaptations cinématographiques libres » comme les BATMAN de Tim Burton 1989 et 1992, puis indirectement avec MATRIX 1999, avant la déferlante des films Marvel commençant avec les X-MEN de Bryan Singer 2000, puis le SPIDERMAN de Sam Raimi 2002, puis, puis, puis… Vous connaissez tous la suite, pas la peine d’en faire des tonnes. Ce n’était donc qu’une question de temps avant que la télévision ne s’empare du phénomène à son tour…La culture Geek enfin mise en lumière. Bienvenue dans la Théorie du Big Bang ! Lorsque la série débute on découvre Leonard Hofstadter Johnny Galecki et Sheldon Cooper Jim Parsons deux physiciens surdoués. Tous les deux sont de parfaits adulescents inaptes aux relations sociales. Ils vivent ensemble en colocation à Pasadena Los Angeles. Geeks invétérés, ils passent leur temps à organiser des STAR TREK-thons, à lire des comics, à jouer à des jeux vidéos, ou à enchainer le plus références geeks possibles en un minimum de temps, etc… Leurs seules fréquentations suivies se limitent à deux collègues scientifiques travaillant sur le campus de leur université. Il s’agit d’Howard Wolowitz Simon Helberg et de Rajesh Koothrappali Kunal Nayyar. Ils sont respectivement ingénieur physicien et astrophysicien. Il va sans dire que ces deux-là sont aussi inadaptés aux rapports sociaux que leurs deux comparses. Leur routine Geekienne est perturbée par l’arrivée de Penny Kaley Cuoco qui aménage sur le même palier. Léonard est immédiatement sous le charme et tentera, dès ce moment, de la séduire ! Pour ce faire, il l’intégrera à son groupe d’amis avec qui elle ne partage pourtant aucune référence culturelle. Ce jeu de la séduction, on le devine aisément, s’étalera sur 12 saisons. The usual Geeks. © CBS On l’aura compris l’ensemble de la série repose uniquement sur ses personnages. L’action, le suspens ou les effets spéciaux ne sont absolument pas conviés à la fête absence de budget oblige. Tout est basé sur la personnalité des protagonistes, leurs interactions, et surtout sur les rapports affectifs qu’entretient le public avec eux ! Etonnement, on pourrait imaginer qu’une série aussi référencée et pointue, serait boudée par le grand public, mais c’est exactement le contraire qui se produisit ! La série remporta un franc succès ces 12 années d’existence en sont la preuve et toucha une audience très large, s’étendant bien au-delà du milieu geek ! Une belle performance, quand on sait que la plupart des répliques de Sheldon échappent totalement au grand public ! Le charme de la série ne se limite donc pas à du fan service et ne s’adresse pas uniquement à une population ne cherchant que le miroir d’elle-même ! Stan et Sheldon Plus cool tu meurs ! © CBS Détaillons à présent le casting Si le show était supposé tourner autour initialement du duo Leonard/Sheldon, c’est rapidement ce dernier vers lequel tous les regards se tourneront ! On pourrait dire, selon la formule consacrée, que le personnage est bien trop intelligent pour son propre bien ! Après une saison 1, où il apparait presque gentil on se comprend hein, Sheldon se révélera rapidement totalement nombriliste, croulant sous les TOC, volontiers hautain et méprisant envers tous ceux qu’il juge moins intelligents que lui c’est-à -dire la terre entière, à part Stephen Hawkins. Si totalement dénué d’empathie qu’il en devient remarquable ! Sorte d’incarnation superbe du syndrome d’Asperger, rongé par ses troubles obsessionnels compulsifs, il ferait le bonheur de tous les psychiatres du monde ! Du reste comme il le dit souvent Je ne suis pas fou, ma mère m’a fait passer des tests ». On peut, cependant, douter de cette affirmation lorsque l’on sait qu’il a fait signer un contrat de location de l’épaisseur d’un bottin à Léonard incluant un code de réactions en cas d’invasion extraterrestre, qu’il a calculé sa place sur le canapé du salon à base d’équations mathématiques, et qu’il considère le sexe comme une pratique aberrante et illogique. Ce type est fou, c’est clairMais, contre toute attente, on ne peut pas s’empêcher d’aimer ce personnage qui mérite clairement des baffes ! Le second protagoniste est Leonard Hofstadter. C’est en 2003 qu’il emménage dans l’appartement de Sheldon. Comparé à son colocataire, Leonard est un modèle d’équilibre et de raison ! Il faut dire qu’avec un référentiel pareil…Bien que fondamentalement geek, il fait bien plus d’effort que Sheldon pour paraitre normal » et avoir un minimum de vie sociale surtout si c’est le prix à payer pour séduire sa charmante voisine de palier, Penny. Malgré les commentaires de Sheldon, souvent négatifs à son encontre, Leonard n’en reste pas moins un scientifique brillant reconnu par la communauté scientifique. Il a notamment été choisi par Stephen Hawking lui-même pour une mission en mer du Nord. La mère de Leonard est une psychiatre et une neuroscientifique. Elle est une sorte de Sheldon au féminin, psychorigide à l’extrême, elle a élevé son fils comme une sorte d’expérience psychanalytique, où l’enfant est supposé mériter l’amour de sa mère. Froide comme un iceberg et amicale comme une mante religieuse. On imagine aisément les dégâts sur sa progéniture face à une mère aussi castratrice. Vient ensuite Penny Penny tout court, on en reparlera plus bas. Elle apparaît dès le premier épisode, comme la nouvelle voisine de Sheldon et Leonard. Elle est venue à Los Angeles dans l’espoir de faire carrière en tant qu’actrice. En attendant que la gloire vienne frapper à sa porte, elle travaille comme serveuse au restaurant The Cheesecake factory. Lors de sa première rencontre avec le duo d’amis elle leur demande de récupérer sa télévision restée chez son ex-petit ami. Leonard et Sheldon rentreront sans télévision mais surtout sans leur pantalon…Délurée et exaltée, elle apparaîtra initialement de façon un peu superficielle, avant de gagner en profondeur au fur et à mesure des saisons. Pour donner plus d’épaisseur à ce trio, deux personnages leurs sont ajoutés. Tout d’abord Howard Wolowitz. Il est ingénieur au département de physique appliquée à l’Université de Caltech. Il est régulièrement moqué par ses amis car il est le seul à ne pas être titulaire d’un doctorat. Il vit encore chez sa mère qu’on ne verra jamais durant toute la série, cette dernière semblant ne s’exprimer qu’en hurlant à travers les murs. En bonne caricature de la mère juive, elle est extrêmement possessive avec son fils et leurs rapports frisent souvent l’inceste. Outre d’être perpétuellement en rut, Howard a comme particularité d’arborer des tenues chatoyantes et a, notamment, une collection de boucle de ceinture pour le moins impressionnante ! Une ceinture piano, batman, gameboy, etc… Vient, enfin, son meilleur ami le seul d’ailleurs Raj Koothrappali. Originaire d’Inde, il est issu d’une famille extrêmement riche, qu’il a quitté pour poursuivre ses études aux Etats Unis. Il n’est capable d’adresser la parole aux femmes que s’il est sous l’emprise de l’alcool. Nous connaissons tous quelqu’un comme ça, n’est-ce pas ?Sa tenue vestimentaire, autant que son attitude, laissent supposer une homosexualité non assumée. En tous cas l’ambiguïté de sa relation avec Howard le fait clairement penser. A ses 5 protagonistes viendront se rajouter 2 autres personnages clés, à partir de la saison 3, mais je vous laisse le soin de les découvrir par vous-même, histoire de ne pas spoiler la série ! Sheldon + Spock = mon épisode préféré. Une équation très simple. Initialement Chuck Lorre et Bill Prady, les créateurs de la série, avaient prévu d’appeler le show LENNY, PENNY AND KENNY. Deux changements de prénoms plus loin, un premier pilote est réalisé. Il montre un Sheldon pas encore asexué il a couché avec une collègue lors d’une convention Star Trek – Ce qui se passe dans une convention Star Trek reste dans une convention Star Trek et Penny est interprétée par une actrice différente. Elle vient de se faire larguer par son petit ami qui, par pure étourderie, a oublié de lui dire qu’il était marié et elle se retrouve donc provisoirement SDF. Leonard et Sheldon troublés par son décolleté et répondant à un besoin impératif de défendre une femelle fertile» lui propose un repas puis un toit… Les responsables de la chaine reconnaissent le potentiel d’une série mettant en scène des Geeks, mais la formule présentée les laisse perplexes. Les scénaristes sont contraints de revoir leur copie. Des acteurs sont changés, des personnalités redéfinies, des décors modifiés, avant de tourner un nouveau pilote. Le reste est appartient à l’histoire… Un client pas comme les autres Neil Gaiman ! © CBS Avertissions cependant les néophytes qu’en regardant la première saison ils pourraient bien être désagréablement surpris ! Bon d’une part, il faut bien avouer que les susdits rires en boite risquent fort de décontenancer les non-initiés voir les agacer, tant les réactions du public paraissent parfois outrées par rapport au comique réel de la situation ! Quoi qu’il en soit, cette désagréable impression s’estompe avec le temps et l’on s’habitue tout simplement aux rires intempestifs, jusqu’à simplement ne plus les entendre. Par contre, un second malaise pourrait bien vous saisir, vous amenant à vous demander Hey c’est-y pas que le Patrick 6 nous a survendu cette série, certes sympathique, mais cependant assez anecdotique ? » Et, en effet, force est de constater que la première saison est loin d’être la meilleure et que la série n’a pas encore trouvé ses marques. La mise en scène est encore maladroite, l’humour est déjà présent, mais les situations sont souvent alambiquées et un poil lourdingues. De plus, pour un spectateur de 2022, le début de la série paraitra parfaitement étonnant, car non encore formaté aux standards politiquement corrects de notre époque ! Jugez plutôt certaines blagues sont ouvertement sexistes, Penny apparait nunuche et caricaturale à souhait dans le genre blonde à forte poitrine. Elle est, d’ailleurs, le seul personnage principal de toute la série à n’avoir aucun nom de famille ! Elle n’obtiendra un vrai nom qu’en se mariant ! Ouch ça pique ! Les féministes sont en PLS. Sans compter, qu’en plus, certaines blagues portent sur l’origine ou la religion des protagonistes et, là , c’est les wokistes qui font des malaises ! Rappelons, donc, si besoin est, que BBT est avant tout une comédie et ne se prétendant ni réaliste, ni représentative. Non les Geeks ne sont pas tous des fous géniaux, ou des frustrés aigris. Même si j’en connais certains qui collent à ces descriptions. Bref la série n’est pas une étude sociologique, mais simplement une comédie avec des personnages, certes parfois un peu caricaturaux, mais toujours attachants, étonnants et surtout drôles. Bref BBT prendra son temps pour trouver sa place et son style. Un effort sera demandé aux nouveaux venus pour totalement s’imprégner de l’esprit de la Sitcom, dont le complet potentiel n’apparaitra vraiment qu’en saison 2. In bed with Sheldon… Le Bonheur ça épanouit. L’une des incroyables performances de ce Sitcom réside dans son nombre hallucinant d’invités prestigieux ! Pendant les 12 années de règne de la série, BBT était simplement The Place To Be pour tout le gratin de la geekosphere ! Lister les personnages célèbres ayant fait une apparition dans la série est presque impossible ! Quoi qu’il en soit citons malgré tout Neil Gaiman, Stan Lee, William Shatner, Leonard Nimoy la voix seulement, Wil Wheaton invité plus que régulier de la série, Bill Gates, Christopher Lloyd, Kevin Smith, Adam West, Stephen Hawking, George Takei, Carrie Fisher, Mark Hamill…Un palmarès impressionnant pour le moins ! Un Top 10 très subjectif des Guests stars de la série Enfin je ne peux qu’insister sur le fait que vous ne devez PAS regarder la série en Version Française ! En effet la VF est pour le moins désastreuse la faute, on l’imagine, à un budget doublage plus que minimaliste. Outre qu’elle fasse l’impasse totale sur l’origine des personnages l’accent indien, à couper au couteau, de Raj disparait tout simplement la traduction fait, surtout, souvent abstraction des jeux de mots ou, bien plus dérangeant encore, sur les références Geeks ! On ne peut que constater que les traducteurs ne maitrisent pas La culture Pop pour les Nuls » tant ils font souvent des contre sens affligeants ! Ils confondent, par exemple, FLASH GORDON et le FLASH du DC comics ! Ou bien encore ils appellent STAR TREK La patrouille du cosmos ! Le doublage est-il québécois ?Bref la seule façon de vraiment apprécier la série est de la regarder en VO ! Forever laughing Au final BBT est loin d’être une série insignifiante, filmant inlassablement les mêmes individus assis autour de la même table de salon. Certes, une petite lassitude s’installe lors des deux dernières saisons le concept n’était pas supposé durer aussi longtemps après tout mais la série a réussi l’exploit de ne jamais sauter au-dessus du requin et de ne jamais trahir son concept de départ. Outre de maintenir sa qualité d’écriture et d’interprétation tout au long de ces 12 années, la série réussit à intégrer et de rendre accessible la culture Geek au plus grand nombre, en montrant que les Geeks ne sont pas nécessairement des gros névrosés à éviter. Si on ne jette plus de pierre à vos enfants dans la cour de récré c’est un peu grâce à Big Bang Theory !Merci à eux. ——– Les protagonistes de BBT je les aime et ils me font rire, la BO s’impose donc d’elle-même
Infographie séries de novembre horreur, des sitcoms ! Comme chaque mois, le calendrier des séries TVShow Time me fournit une infographie, qui décrypte les pratiques de de ses utilisateurs, les séries qui sont les plus commentées, aimées, malaimées. Ce mois-ci, du fantastique, de l’horreur, The Big Bang Theory qui chante et How I Met Your Mother qui pleure. Qu’est-ce qui buzze, qu’est-ce que les utilisateurs de TVShow Time ont aimé, ou pas, la réponse dans cette ultime infographie de “Têtes de séries.” Bonne nouvelle, on se retrouve pour l’infographie de décembre sur “Sérierama”, mon blog de qui ouvre dimanche. Lire la suite… lire le billet L’Hebdo Séries saison 3, épisode 9 Cette semaine, L’Hebdo Séries donne la parole aux meilleurs acteurs d’origine indienne, de plus en plus présents dans les séries américaines. Effet Slumdog Millionnaire ? Calcul marketing ? Véritable talent comique ? Kunal Nayyar, Archie Panjabi, Sendhil Ramamurthi et les autres apportent leurs explications. Et aussi, la saison 2 de The Good Wife sur M6, The Chicago Code sur TPS Star, et la suite de la rentrée US, avec Boss et Once Upon a Time. lire le billet Séries US la guerre des comédies Les sitcoms sont-elles devenues ringardes ? COMMUNITY, 30 ROCK, MODERN FAMILY ou THE OFFICE… une nouvelle vague de comédies américaines envahit avec succès le petit écran, portée par des méthodes comiques plus ambitieuses que les bons vieux rires enregistrés. L’Hebdo Séries se penche sur les recettes de ces deux écoles de l’humour… Egalement au sommaire – REM sur les traces d’INCEPTION – Krysten Ritter revient dans DON’T TRUST THE BITCH IN APPARTMENT 23 – Un teaser pour le TERRA NOVA de Spielberg – BEAVIS ET BUTT-HEAD sont de retour ! – Steven Moffat redonne vie à DOCTOR WHO En bonus pour finir, le couple gay de MODERN FAMILY nous donne la recette du moment pour faire fortune à Hollywood ! Bonne émission ! L’Hebdo Séries, c’est votre émission de référence sur les séries. Chaque jeudi, retrouvez toute l’actu de vos séries préférées en 7 minutes chrono ! News, reportages, interviews, tendance, sélec…Toutes les émissions sur lire le billet Un mot sur les Golden Globes Si vous vivez sur une île déserte qui n’est pas celle des disparus de Lost, vous n’êtes pas au courant la nuit dernière, c’était les Golden Globes à Los Angeles. Comme je n’y étais pas – j’avais piscine, et surtout je n’étais pas invité – je ne pourrais pas vous dire si le champagne était frais et les petits fours goûtus. En revanche, comme tous mes camarades bloggeurs, je m’en vais vous donner mon avis sur ces prix décernés par la presse étrangère » – en fait la très fermée Hollywood Foreign Press Association, légèrement secouée par des soupçons de corruption il y a quelques jours. Lire la suite… lire le billet CBS maître du monde Appeler ça une domination serait un doux euphémisme. En matière de séries télé, CBS écrase la concurrence. Pour la semaine du 14 novembre dernier, et selon les audiences publiées par Nielsen le Médiamétrie américain, 6 des 10 programmes les plus suivis aux États-Unis étaient des séries les quatre autres étant du sport et de la télé réalité, et elles étaient toutes diffusées sur CBS. Mieux, les huit premières séries du Top 15 étaient made in CBS. Seule Desperate Housewives, modeste 14e, hissait un autre drapeau, celui d’ABC. Comment expliquer une telle domination de la chaîne à l’œil son logo ? Lire la suite… lire le billet Geek is toujours sexy ! Cette semaine L’Hebdo Séries s’intéresse au sex-appeal des geeks. Les informaticiens boutonneux du lycée tiennent leur revanche en leur donnant le premier rôle les séries ont fait exploser leur cote de popularité. Etre obsédé par les jeux vidéo la technologie et la pop culture n’empêche plus de faire craquer les filles. Alors, être geek, c’est chic ? Également au sommaire – Bonnes nouvelles sur les networks – Castings en série – SONS OF ANARCHY met les gaz – MISFITS la série trash entre SKINS et HEROES En bonus, le générique spécial halloween des Simpson, petit clin d’œil à un certain bureau… Bonne émission ! L’Hebdo Séries, c’est votre émission de référence sur les séries. Chaque jeudi, retrouvez toute l’actu de vos séries préférées en 7 minutes chrono ! News, reportages, interviews, tendance, sélec…Toutes les émissions sur lire le billet Mad Men, une série féministe ? Cette semaine, l’HEBDO SERIES s’intéresse aux femmes de MAD MEN. Le chef d’œuvre de Matthew Weiner n’est pas seulement la chute Don Draper, c’est aussi l’histoire de femmes en plein bouleversements, Peggy Olson et Betty Draper, dans l’Amérique encore frileuse du début des années 60. Leurs trajectoires croisées font-elles de Mad Men une série féministe ? Nous avons posé la question à Jon Hamm Don Draper et Elisabeth Moss Peggy Olson… Également au sommaire – 30 ROCK en direct avec Jon Hamm et Matt Damon ! – OUTLAW annulée, RAISING HOPE confirmée – FAMILY GUY classé X ? – Sheldon Cooper découvre les filles… En bonus, pour finir, on rit jaune avec LES SIMPSON et ce gag du canapé signé Banksy, un tagueur anglais, anticapitaliste réputé. Une charge au vitriole contre le merchandising abusif et la surexploitation des travailleurs chinois. Bonne émission ! L’Hebdo Séries, c’est votre émission de référence sur les séries. Chaque jeudi, retrouvez toute l’actu de vos séries préférées en 7 minutes chrono ! News, reportages, interviews, tendance, sélec…Toutes les émissions sur lire le billet Zach Levi et la télé du futur La semaine dernière, au Festival de Télévision de Monte-Carlo, j’ai eu la chance de faire de rapides causettes avec une vingtaine d’actrices et d’acteurs plus ou moins intéressants, mais tous en mode promotion. Tous ? Presque. Un homme, clairement pas le genre à regarder en arrière, semblait être ouvert à des débats plus profonds. Son nom, Zachary Levi, premier rôle de Chuck, série sympa comme tout, récemment éjectée des grilles de TF1. Geek et fier de l’être, Levi a des projets pour les séries de demain. Chuck frôlant l’annulation chaque saison, il a eu le temps d’y penser, et il veut prendre les devants d’une inévitable évolution la télévision meurt doucement. Le futur des séries est sur internet. Voici son plaidoyer, extrait de notre entretien d’une demi-heure. Un plaidoyer certes utopique et légèrement candide, mais qui aura, soyons-en sûr, l’attention du peuple geek et de tous ceux qui se font du souci pour l’avenir des séries… Lire la suite… lire le billet Big Bang Theoriski Certains appelleraient ça un plagiat pur et dur. Une copie. Appelons-ça un bel hommage. The Big Bang Theory, une des sitcoms les plus réussies du moment, connait depuis quelques semaines une déclinaison pas commune. Ça s’appelle Les Théoriciens, et c’est… biélorusse. L’histoire reste exactement la même, au point que les scénarios ont été repompés presque en l’état Penny, jeune et jolie serveuse, débarque dans la vie d’une bande de geeks à peine habitués à la notion scientifique de “féminité.” Lire la suite… lire le billet Les séries US aiment les Indiens Les Indiens ont la cote dans les séries. Pas ceux qui croupissent dans des réserves et sombrent dans l’alcool c’est d’ailleurs bien dommage, ça ferait un sujet passionnant, mais ceux qui viennent d’Inde. Aux États-Unis, c’est la saison des pilotes, cette période de l’année où les chaînes achètent des concepts qui seront bientôt tournés, espérant un jour être diffusés. Parmi eux, souligne un excellent article du Hollywood Reporter, deux comédies, Nirvana Fox et Outsourced NBC, mais aussi un remake d’une série britannique, The Kumars at No. 42. Trois séries dont les héros sont Indiens, vivant aux Etats-Unis “Indian-American”, comme on dit ou s’y rendant. Le “responsable” de cet engouement ? Slumdog Millionnaire. Lire la suite… lire le billet
Paroles de la chanson Big Bang Théorie par 1995 [Nekfeu] J’ai vu les pyramides qui ondulaient, le désespoir, L’édifice triangulaire construit à la sueur des esclaves. Si on reculait les aiguilles du temps, infini, On verrait l’insignifiance de circuler avec les pupilles blanches, Aveuglé par la thune, dans ma tête, le soleil et la lune sont équidistants. Mes idées se heurtent aux limites idiomatiques, La terre paraît ronde en équilibre hydrostatique. Je lutterais quand ça sera l’heure et le désespoir me porte jamais on ne cessera de rayonner, Hey yo mec, on voit toujours la lumière ancestrale des étoiles mortes. [Alpha Wann] Nique les faiseurs de fausses promesses, c’est l’début de notre suprématie Faudra pas sucer après monsieur, j’maitrise la lumière, kaléidoscope Prisme, hey hey, v’la s’qu’apprécie nos potes. J’compte m’évader d’la trice-ma, Phal et le microphone font plus de dégâts que l’illettrisme. Sachez que j’donne le hip-hop le plus pur et du taff aux archéologues du futur. Dans leur jeu merdique, ils pensent que c’est l’heure du verdict, ne jugez pas encore On est qu’à la première brique, on commence les fondations de l’empire Si t’aimes pas tant pis, tous les contrats sont remplis. [Sneazzy] T’auras beau chercher les portes de secours, les issues sont identiques Et moi j’serais momifié dans des tissus Givenchy. Les générations précédentes n’ont pas su faire, c’est triste Dans la pénombre d’une éclipse j’remarque une trombe d’adultères. J’suis déçu de la manière par laquelle l’occidental à rendu dispensable Jésus de Nazareth, J’laisserais des écrits avec ma merde, c’est décidé, Et j’expliquerais qu’il n’y avait que des débiles sur la Terre. C’est ça que j’enseigne, faites place au seigneur, Au meilleur, on s’voit pour vos obsèques. J’croise tous ces cons, j’fais preuve de ruse, autour du cou j’ai l’œil d’Horus, Ils font les fous, au fond peur de m’offusquer. Dans les toutes les assoc’, il y a toujours un traitre, C’est qu’là j’m’inquiète, on va tous finir comme les apôtres. Le Monde court à sa perte et ce sprint touche à sa fin, On a ken la planète, comme Azraël on est tous assassins…
paroles générique the big bang theory