selmarin rĂ©coltĂ© Ă  la main. Le sel. il y a 1000 ans de cela , l ile fournissait du sel Ă  toute l europe qui l utilisĂ©e pour conserver la nourriture,les techniques d amĂ©nagements de terres incultes en marais salant furent dĂ©veloppĂ©s par les romains puis par les moines, le sel fut la convoitise de bien des peuples et fut l objet de longues guerres, le sel durant presque 10 CorrigĂ©exercice 6 brevet de maths 2013 (5,5 points) Dans les marais salants, le sel récolté est stocké sur une surface plane comme l’illustre la photo ci-dessous. On admet qu’un tas de sel a toujours la forme d’un cône de révolution. 1) a) Pascal souhaite déterminer la hauteur d’un cône de sel de diamètre 5 mètres. L ’ eau de mer arrive, comme les bateaux de promenade, par les canaux des marais salants, p Ă© n Ăš tre dans la r Ă© serve (1 : concentration de sel de 35g/l) *puis passe dans le tour d ’ eau (2 : 52g/L) . *Elle passe ensuite dans l ’ hautaie (3 : 150 Ă  200g/l) *pour se dĂ©verser dans le brassioux (4 : 250g/L) . *Elle passe ensuite dans de petits canaux et va dans les oe illets (5 : Lesel se cristallise dans l'oeillet sur un fond d'argile. Il est rĂ©coltĂ© tous les jours Ă  la main par un paludier Ă  l'aide d'un las. Le sel est ensuite dĂ©posĂ© en tas sur une ladure (plateforme ronde au centre de l'oeillet) pour ĂȘtre Ă©goutĂ©, avant d'ĂȘtre stockĂ© en "mulon". RĂ©coltĂ©e Ă  la main Ă  l'aide d'une lousse en fin d'aprĂšs Dansles marais salants, le sel rĂ©coltĂ© est stockĂ© sur une surface plane comme l’illustre la photo ci-dessous. On admet qu’un tas de sel a toujours la forme d'un cĂŽne de rĂ©volution. 1) a) Pascal souhaite dĂ©terminer la hauteur d'un cĂŽne de sel de diamĂštre 5 mĂštres. Il possĂšde un bĂąton de longueur 1 mĂštre. Il effectue des mesures rĂ©coltéà la main. dans deux bouteilles qui s empilent l une dans l autre. parfait en cadeau. Le sel. il y a 1000 ans de cela , l ile fournissait du sel Ă  toute l europe qui l utilisĂ©e pour conserver la nourriture,les techniques d amĂ©nagements de terres incultes en marais salant furent dĂ©veloppĂ©s par les romains puis par les moines, le sel fut la convoitise de bien des peuples et fut l RFF72BAB– Le sel rĂ©coltĂ© Ă  partir de la mer Ă  Trapani, Sicile est stockĂ© en tas sous des carreaux de terre cuite, en attente d'expĂ©dition. RF2DAW242 – D'Ă©normes piles de sel produites par salinas, saltpans, Ă  Santa Pola, Alicante, Espagne. RMCNAHNT – Des tas de sel stockĂ© dans les Salines de Trapani, Sicile, Italie. RM2H9B0N4 – Pieux de sel rĂ©coltĂ©s sur le lac SQm8H7. HISTOIREÀ l’origine des marais de l’üle de RĂ©Jusqu’au Moyen Age, l’üle de RĂ© Ă©tait composĂ©e d’ülots RĂ©, le plus grand, qui correspond Ă  la partie sud de l’üle actuelle et les Ăźlots d’Ars et de Loix l’ülot des Portes s’étant rattachĂ© Ă  celui d’Ars dĂ©s le premier millĂ©naire. Peu Ă  peu, les passes entre ces diffĂ©rents Ăźlots se sont comblĂ©es par le dĂ©pĂŽt naturel d’alluvions argileux le bri. Ainsi se mirent en place, grĂące Ă  ces sĂ©diments impermĂ©ables et Ă  des conditions climatiques propices, les Ă©lĂ©ments favorables Ă  la crĂ©ation des marais salants rĂ©tais. Pour cela, ces terrains ont Ă©tĂ© gagnĂ©s sur la mer grĂące Ă  l’édification de levĂ©es prĂ©servant ces prises de la montĂ©e des eaux lors des grandes marĂ©es voir carte ci contre.OUTILSLa rĂ©colte du selGros sel et Fleur de sel sont des produit entiĂšrement naturels, ils ne subissent aucune transformation entre le moment de la rĂ©colte et leur sur le fond du derneir bassin, l’aire saunante, le gros sel est d’une couleur grise due aux particules argileuses qu’il contient. Ordinairement rĂ©coltĂ© tous les deux jours, ce sel reprĂ©sente la majeure partie de la production du marais salant. Certains jours, lorsque l’évaporation est particuliĂšrement soutenue, une fine pellicule se forme Ă  la surface de l’aire saunante, c’est la fleur de sel. N’étant pas en contact avec le fond argileux du bassin, ce sel est naturellement blanc mais Ă©galement plus fin que le gros sel. D’une saveur subtile, la fleur de sel s’utilise en sel de principes du marais salantElĂ©ment essentiel du patrimoine rĂ©tais, les marais salants ont modelĂ© le paysage et forment un milieu naturel particuliĂšrement riche qui hĂ©berge une grande variĂ©tĂ© d’oiseaux et de plantes spĂ©cifiques. Le maintien et la valorisation de l’activitĂ© salicole garantit la prĂ©servation de cet Ă©quilibre entre l’homme et son MILIEU NATUREL DU MARAISLa faune et la floreLes marais salants sont un espace naturel privilĂ©giĂ© entre terre et mer qui abrite un Ă©cosystĂšme fertile mais Ă  l’équilibre fragile. Le saunier, en entretenant le circuit hydraulique, en assurant le renouvellement de l’eau dans les bassins et en maintenant les niveaux d’eau dans le marais, permet la prĂ©servation de ce milieu is some text inside of a div is some text inside of a div block. Pascal met dans son oeil qui est au photographe ce que le stylo est Ă  l'Ă©crivain, autant de minutie que s'il avait entre ses mains l'avenir du monde. Car sa photographie est lĂ  pour tĂ©moigner. Pour expliquer d'en haut ce que l'on ignore parfois en bas. Etoffe je dois Ă  ce mot cette collaboration. Lors de notre premiĂšre visite, ce fut ma rĂ©flexion Ă  celui qui est aussi un photographe de théùtre et de costumes rĂ©putĂ© " On dirait des Ă©toffes. " Ce sont ces six lettres qui sont vĂ©ritablement Ă  l'origine de ce livre. Qu'Ă©crire sur des marais salants qui ne soit pas dĂ©jĂ  Ă©crit ? Qu'Ă©crire sur des paysages qui relĂšvent plus de l'oeil de Monnet que de Doisneau ? Qu'Ă©crire sur des couleurs ? La consigne fut lancĂ©e " Tu as carte blanche ! " Originaire de Nevers, a suivi les cours des Beaux Arts et durant prĂšs de dix ans a Ă©tĂ© peintre, puis crĂ©ait des Ă©vĂ©nements autour de la peinture, participe Ă  la crĂ©ation de musĂ©es d'Art brut Ă  Lapalisse 03 puis Ă  Hauterives 26. En 2001, Pascal François dĂ©couvre la photographie comme art de transmission de la beautĂ© instantanĂ©e et devient professionnel en 2003. Depuis, il est devenu le photographe du Centre national du costume de scĂšne et de la scĂ©nographie, la Compagnie Philippe Gentil, collabore avec la coopĂ©rative des marais salants de GuĂ©rande, etc. Livres parus Rudolf Noureev photographies costumes, P. François / CNCS, Ă©dit. du MĂ©cĂšne ; OpĂ©ras russes, Ă  l'aube des ballets russes photographies costumes, P. François / CNCS, Ă©dit. du MĂ©cĂšne ; Vestiaire de divas, photographies costumes, P. François / CNCS, Ă©dit. du MĂ©cĂšne ; Les Insolites, photographies costumes, P. François / CNCS, Ă©dit. du MĂ©cĂšne ; L'art du costume Ă  la ComĂ©die française photographies Pascal-François/CNCS, Ă©dit. Bleu autour. Costumer le pouvoir photographies costumes, P. François / CNCS, Ă©dit. Fage ; En Piste ! photographies costumes, P. François / CNCS, Ă©dit. Fage ; Paysages intĂ©rieurs, photographies de Philippe Genty, Ă©dit. Actes Sud. Antoine Gavory, originaire de la NiĂšvre, est auteur de piĂšces de théùtre, de romans, parolier, producteur et animateur de radio, Journaliste Ă©ditorialiste, chroniqueur littĂ©raire... Livres parus 2001 De l'art dans la littĂ©rature essai, Agip ; Tristan CorbiĂšre. Le spectre de l'an ankou, Livret d'exposition, Ass. Flagrant d'Ă©lie ; 2002 Destination vie contre les cancers Documentaire de tĂ©moignages, Ă©dit. Soubie ; 2004 Françoise Sagan. Un coup de vent Ă  travers la vie Livret d'exposition, Ass. Flagrant d'Ă©lie ; 2007 Marguerite Yourcenar. ItinĂ©raire d'un Ă©crivain solitaire biographie, Ă©dit. Flagrant d'Ă©lie ; Barricades, roman, Ă©dit. Pietra Liuzzo ; 2008 Sacha Guitry. Le cĂ©lĂšbre impopulaire biographie, Ă©dit. Flagrant d'Ă©lie ; 2011 La thĂ©orie de l'adolescence, roman, Ă©dit. Flagrant d'Ă©lie ; 2013 Hussard Noir Ă  la campagne, roman, Ă©dit. de l'Escargot savant. Exercice 6 5,5 points Dans les marais salants, le sel rĂ©coltĂ© est stockĂ© sur une surface plane. On admet qu'un tas de sel a toujours la forme d'un cĂŽne de rĂ©volution. Pascal souhaite dĂ©terminer la hauteur d'un cĂŽne de sel de diamĂštre 5 mĂštres. Il possĂšde un bĂąton de longueur 11 mĂštre. Il effectue des mesures et rĂ©alise les deux schĂ©mas ci-dessous DĂ©montrer que la hauteur de ce cĂŽne de sel est Ă©gale Ă  2,502,50 mĂštres. Dans cette question, on n'attend pas de dĂ©monstration rĂ©digĂ©e. Il suffit d'expliquer briĂšvement le raisonnement suivi et de prĂ©senter clairement les calculs. À l'aide de la formule V=Ï€Ă—rayon2×hauteur3V = \frac{\pi \times rayon^{2} \times hauteur}{3}, dĂ©terminer en m3m^{3} le volume de sel contenu dans ce cĂŽne. Arrondir le rĂ©sultat au m3m^{3} prĂšs Le sel est ensuite stockĂ© dans un entrepĂŽt sous la forme de cĂŽnes de volume 1000m31000 m^{3} . Par mesure de sĂ©curitĂ©, la hauteur d'un tel cĂŽne de sel ne doit pas dĂ©passer 66 mĂštres. Quel rayon fout-il prĂ©voir au minimum pour la base ? Arrondir le rĂ©sultat au dĂ©cimĂštre prĂšs. Autres exercices de ce sujet Dans ce chapitre GuĂ©rande est une trĂšs jolie petite ville mĂ©diĂ©vale sur la cĂŽte atlantique, au nord de St-Nazaire dans le dĂ©partement de Loire-Atlantique. Elle est connue mondialement pour le sel sel de mer et Fleur de sel produit de maniĂšre artisanale dans ses marais salants. Un peu d’histoire Le Sel de GuĂ©rande est, si ce n’est le plus ancien, en tout cas le plus connu et le plus recherchĂ© des sels de mer de France. Les premiĂšres traces de rĂ©colte de sel dans la rĂ©gion remontent au temps des conquĂȘtes romaines, soit environ le 3e siĂšcle. Ce sont ensuite des moines qui, dĂšs le 10e siĂšcle, construisent les marais salants cf. photo tels que nous les connaissons aujourd’hui. Le technique du paludier le cueilleur » du sel qui est encore utilisĂ©e aujourd’hui date elle probablement de la mĂȘme Ă©poque. Source Le GuĂ©randais Une technique manuelle ancestrale Lors des grandes marĂ©es 1x par mois, on fait rentrer l’eau de mer dans le premier bassin d’une saline, appelĂ© la vasiĂšre. Cette vasiĂšre sert de rĂ©serve d’eau au paludier pour le reste du mois. C’est ensuite tout le mĂ©tier du paludier que de gĂ©rer cette eau dans ses diffĂ©rents bassins d’évaporation, portant les noms de cobiers, fares et adernes. Lors du passage dans ces diffĂ©rents bassins et grĂące Ă  l’évaporation, l’eau se concentre de plus en plus en sel. Le sel est finalement rĂ©coltĂ©, gĂ©nĂ©ralement en fin de journĂ©e, dans les oeillets. A l’aide d’un las – outil en bois muni d’un long manche – le paludier pousse le sel sur le bord des bassins puis en fait un tas sur une surface en argile spĂ©cialement prĂ©vue. C’est ici que le sel s’égoutte pendant la nuit, avant d’ĂȘtre transportĂ© – avec une brouette – sur le grand tas de stockage du sel. Vous trouvez ici une animation de ces diffĂ©rentes Ă©tapes. Gros sel marin C’est le sel le plus brut, tel qu’il est rĂ©coltĂ©. Il est gris parce qu’il se concentre au contact du sol argileux de la rĂ©gion, dont il absorbe aussi les sels minĂ©raux et les oligo-Ă©lĂ©ments. Il n’est ni lavĂ© ni raffinĂ©, et ne comporte aucun additif. Sel fin Il s’agit du mĂȘme sel que le gros sel. Seule transformation il est broyĂ© pour le rendre un peu plus fin, ce qui permet par exemple de le mettre en saliĂšre, et aussi de le mĂ©langer Ă  d’autres ingrĂ©dients, par exemple des herbes. C’est aussi celui que vous trouvez Ă  La Portion Magique ! Fleur de Sel C’est le plus prĂ©cieux des sels. Il faut en effet des conditions mĂ©tĂ©orolgiques trĂšs spĂ©cifiques – sec mais avec du vent
 pas trop fort – qui permet la formation d’une fine pellicule de sel en surface. Cette derniĂšre est alors cueillie en fin d’aprĂšs-midi. Elle est blanche car elle n’a pas Ă©tĂ© en contact avec le sol argileux. Elle s’utilise uniquement en pincĂ©e pour assaisonner des mets crus ou dĂ©jĂ  cuits ! Ce n’est qu’ainsi que vous profiterez de son goĂ»t dĂ©licat
 Sel de GuĂ©rande et santĂ© Le sel de GuĂ©rande n’étant pas raffinĂ©, il contient un proportion plus Ă©levĂ©e en sels minĂ©raux et oligoĂ©lĂ©ments que du sel de table. Il contient surtout du calcium, du cuivre, du fer, du magnĂ©sium et du potassium. Cette composition est en plus susceptible de changer tout au long de la saison les proportions ne seront pas les mĂȘmes en dĂ©but de saison qu’en pleine Ă©tĂ© ou vers la fin. Il peut Ă©galement contenir des microalgues. Par contre, comme on ne lui ajoute rien non plus, il n’est pas iodĂ©. Or le iode est indispensable pour notre organisme. Un gourmet averti en vaut deux !! SĂ©parer le sel et l'eau Le sel est un Ă©lĂ©ment solide qui se dissout quand on le mĂ©lange Ă  de l’eau. On appelle cela la dissolution. Cela signifie qu’une fois mĂ©langĂ©, il est impossible de distinguer le sel de l’eau, ces deux Ă©lĂ©ments formant un mĂ©lange homogĂšne. MĂ©lange d'eau et de sel Pour sĂ©parer les constituants d’un mĂ©lange homogĂšne, il est nĂ©cessaire d’utiliser la technique de l’évaporation. Elle consiste Ă  favoriser l’évaporation de l’eau sous l’effet de la chaleur et d’autres facteurs comme le vent afin de permettre au sel dissout dans l’eau de se cristalliser et de reprendre sa forme solide. Qu’est-ce qui permet au sel de se cristalliser ? C’est le principe de la saturation de l’eau en sel. Quand on mĂ©lange du sel dans l’eau, le sel se dissout, il perd sa forme solide pour former un mĂ©lange homogĂšne avec l’eau, on ne le voit plus car il n’est plus Ă  l’état solide. Cependant, Ă  partir d’une certaine quantitĂ© de sel, celui-ci ne se dissout plus, il reste sous forme solide dans l’eau. PrĂ©paration d'une solution aqueuse saturĂ©e en sel Pour de l’eau froide, le seuil de saturation est d’environ 300 g de sel par litre d’eau, c'est-Ă -dire que l’on peut dissoudre jusqu’à 300 g de sel dans un litre d’eau. Si on en met plus, il ne se dissout plus, il reste solide. Le fonctionnement d'un marais salant Dans un marais salant, l’objectif est de rĂ©colter le sel dissout dans l’eau de mer. Pour cela, il faut qu’il redevienne solide. Or, l’eau de mer ne contient que 35 g de sel par litre d’eau. Pour pouvoir rĂ©colter le sel solide, il faut augmenter la concentration de sel dans l’eau. C’est pourquoi on favorise l’évaporation de l’eau afin qu’il y ait moins d’eau et donc que la concentration de sel dans l’eau augmente. Quand la concentration en sel est suffisamment importante, l’eau atteint son niveau de saturation, le sel se cristallise et on peut alors le rĂ©colter. Cristaux de sel Ă  la surface de l'eau dans un Ɠillet L’eau de mer circule de bassin en bassin avant que l’on puisse rĂ©colter le sel. Elle s’évapore petit Ă  petit et sa concentration en sel augmente au fur et Ă  mesure qu’on la change de bassin. RĂ©colte du sel dans les Ɠillets Un canal, l’étier, dirige l’eau de mer vers un premier grand bassin, la vasiĂšre rĂ©serve d’eau qui alimente les marais salants. La vasiĂšre sert non seulement de rĂ©servoir d’eau pour le marais salant mais aussi de bassin de dĂ©cantation, car elle permet Ă  la vase et aux boues prĂ©sentes dans l’eau de se dĂ©poser au fond du bassin. Puis, l’eau passe dans un autre bassin moins profond appelĂ© le cobier oĂč elle termine sa dĂ©cantation et commence Ă  s’évaporer. Elle est alors dirigĂ©e vers des petits bassins peu profonds, les fares et les adernes, qui sont des bassins d'Ă©vaporation. Ces bassins alimentent ensuite les derniers bassins d'Ă©vaporation, appelĂ©s Ɠillets ou cristallisoirs selon la rĂ©gion, oĂč le sel se cristallise et est rĂ©coltĂ©. Dans les Ɠillets, la concentration en sel atteint 300 g par litre d’eau de mer, c’est pourquoi le sel se cristallise et peut ĂȘtre rĂ©coltĂ©. SchĂ©ma d'un marais salant

dans les marais salants le sel récolté est stocké